Des êtres biologiques

Qu’il soit l’auteur de cette maxime ou pas, il est indéniable qu’une réalité est force de loi: le corps ne vit que par les aliments. Que celui qui refuse cette évidence reparte sur les bancs de l’école, y réapprendre le b-a-ba du corps humain. Agrémenté d’une seconde loi : l’aliment doit être reconnu par notre système physiologique comme « spécifique à notre espèce »! C’est ce qu’on appelle la biologie.

Nous ne sommes pas des êtres chimiques, mais biologiques, d’où la différence entre le chimiste et le biologiste: si les deux sont devant le cadavre de Mr Truc, le chimiste dira que Mr Truc est bien là avec ses molécules et ses atomes, mais le biologiste affirmera que ce Mr Truc n’est pas là.

Il n’est plus en vie, donc n’a plus de biologie, plus de vibration de VIE.

Les deux ont raison, chacun en accord avec sa perception. Mais pour chacun de nous, être vivant biologiquement est ce qui rallie tous les suffrages !

Les aliments bénéfiques pour la santé : vers une nutrition naturelle et équilibrée

Ce qui signifie que le sens de la Vie est lié à des produits biologiques constitués de protides, lipides, glucides, minéraux, vitamines, oligo-éléments, enzymes, tous animés d’une fréquence de Vie. Nous constatons cela dans la comparaison entre aliments raffinés (et la disparition de tous les nutriments indispensables) et aliments complets biologiques (bourrés de tous les nutriments indispensables), car ils ne vibrent plus sur la même fréquence.

Vos aliments doivent être biologiques, en accord avec notre espèce de mammifères placentaires ayant une spécificité alimentaire, comme tous ceux de la Nature.

Deux évidences corroborent une première compréhension de ce que nous sommes et de ce qu’il nous faut:

• Dès qu’un animal meurt, s’enclenche automatiquement le processus de putréfaction, qui fait chuter rapidement la fréquence biologique.
• Dès que nous séparons un avocat, une banane, une tomate, une fleur de son « arbre nourricier », ils continuent à mûrir ou à fleurir (avec simplement de l’eau) donc à accumuler de l’énergie de vie.

Le calcul de la fréquence cellulaire dans ces deux cas nous montre sans ambiguïté cette réalité.

Que peut-on dire de ce que nous supposons être nos paramètres de santé ? Réfléchissons en termes d’espèces animales, puisque nous en sommes:

• Les mammifères dans la nature montrent en moyenne une quinzaine de maladies reconnues
• Les mêmes dans des zoos où les animaux domestiques en ont environ une soixantaine.
• L’homme en a plus de 3000.

Même avec certaines marges d’erreur dans les chiffres, le constat est accablant.

Connais-toi toi-même : comprendre l’alimentation pour un bien-être durable

Comprenons-nous réellement qui nous sommes et quel est le processus naturel qui nous donne la santé physique, physiologique et depuis peu mentale… les aliments complets, biologiques et les pensées de qualité ? Mais dans ces aliments-là, quels sont ceux qui sont spécifiques à l’espèce humaine? Beau sujet d’une prochaine analyse…peut-être !

C’est un TOUT et attention à ne pas les désolidariser par recherche de sa propre vérité qui ne correspond qu’à des refus conscients ou inconscients de ne pas voir la RÉALITÉ en face….et de devoir changer !

Ciel…qui serais-je?

J’ai toujours été ahuri de constater la réaction de la plupart des personnes quand je parle d’alimentation bio! Au mieux, j’ai un petit sourire en coin, au pire des railleries classiques.

Or selon ce que nous vivons, jamais nous ne devrions employer ces deux mots associés, puisque par réalité cellulaire nous sommes biologiques, du pur pléonasme.

Par contre, l’utilisation du non-bio devrait être la seule interrogation à se poser, nous entrerions alors dans la vraie négation de ce que nous représentons et pourrions agir efficacement pour nous garder…en Vie et en Santé.

BON APPÉTIT ET BONNE SANTÉ À TOUS !