Philippe Bignalet
Philippe Bignalet exerce depuis plus de 30 ans comme naturopathe. Ayant suivi de nombreuses formations en différents domaines, Philippe accompagne ses patients dans la compréhension du corps et ses fonctions, le mental et ses réactions et la relation qui existe entre les deux.

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Et si la maladie nous parlait ?

Il est courant de dissocier le mot « maladie » en « mal a dit » pour comprendre que les symptômes ne sont pas nos ennemis mais nos amis. Et cela, même pour les maladies dites « de civilisation » qui désignent les grosses pathologies.

Si le symptôme apparait, regardons la logique qui a permis son apparition. En fait, tout part du mental qui, lors d’un évènement perçu comme négatif, n’arrive pas à trouver la solution à ce problème. Le cerveau biologique prend le relais et fait surgir un mal dans un organe, et le hasard n’a rien à voir dans cette histoire. Tout a un sens bien précis.

C’est dans ce cadre que nous utilisons une technique thérapeutique, appelée « décodage biologique » ou « biologie totale des êtres vivants ». Cela consiste à observer deux éléments essentiels :

  • L’organe touché
  • La maladie dans cet organe

Chacun a sa raison d’être. Travaillons alors à comprendre pourquoi ce problème-là s’exprime dans ce tissu-là.

Le décodage biologique s’apparente à une recherche policière, à un jeu de logique pure. Philippe Bignalet

Ce qu’il
faut savoir

Ce qu'il faut savoir

Comprendre le décodage biologique

Mon corps est soumis au mental et à l’intellect via un ordinateur, le cerveau.

Le but de cette démarche est de retrouver l’évènement traumatisant non résolu qui, par le biais du cerveau, nous permet de le relier à la maladie. Toutes les maladies ont un conflit théorique bien répertorié (cancer de la prostate : conflit du grand père, cancer du sein : conflit de nid, cystite : conflit de marquage de territoire, spondylarthrite : conflit de dévalorisation, etc.). Nous sommes amenés alors, au travers de questions et de paramètres clés (prénom, fratrie, profession, éléments aimés, éléments détestés…), à chercher dans la vie de la personne, l’évènement conflictuel correspondant à la maladie déclarée.

Ce traumatisme peut être lié à un évènement vécu par nous-même ; ou peut être « donné » par un ou des ascendants qui ont subi une situation douloureuse. Nous associons toujours deux faits indispensables dans la compréhension du déséquilibre physiquephysiologique ou comportemental :

  • L’évènement traumatisant
  • L’émotion liée à cette situation

 

La réalisation de cette association par la personne touchée, est la clé de l’amélioration, voire de la guérison.

 

 

 

Anatomie d’une séance

Une séance se déroule ainsi :

Après une anamnèse rapide, nous expliquons pourquoi une affection se déclenche, comment la considérer dans son essence et surtout, à quoi sert-elle ! Car elle a une raison d’être parfaite.

Une fois la logique de nos déséquilibres perçue par le patient, nous entamons l’analyse du questionnaire. Le but de l’opération est d’amener tranquillement la personne à réfléchir sur ses différents thèmes de vie, ce qui la passionne, ce qu’elle déteste, ses hobbies, ses phobies et d’autres éléments de sa vie de tous les jours, pouvant être anodins tout en étant une facette importante de la solution.

C’est le patient qui doit arriver à une évidence de relation entre sa pathologie et son traumatisme.

 

 

 

Un monde de dualité

Chaque organe ayant une fonction bien précise au sein du corps, c’est cette fonction qui doit être considérée pour retrouver l’évènement programmant, puisque organe et évènement sont les deux facettes de la maladie. Pour être très simpliste et pourtant dans la réalité, si j’entends tout le temps un jugement agressif de ce que je suis, je pourrai développer un problème d’oreille ; si je ne veux plus voir une situation très perturbante, je ferai un problème d’œil ; mal digérer une saleté qu’on m’a faite, problème d’estomac ou d’intestin ; mal vivre une situation d’étouffement fera apparaitre un conflit dans le poumon…

Cette technique s’apparente à une recherche policière, à un jeu de logique pure qui mettront, enfin en évidence, la relation entre un évènement traumatisant et une pathologie.

Dans ce monde de dualité, si nous ouvrons une fenêtre, c’est que nous pouvons la fermer ; si j’enfile un pull, c’est que je peux l’enlever ; si je démarre une voiture, c’est que je peux l’arrêter, et donc si le cerveau a allumé la maladie, dans la biologie, c’est qu’il peut l’éteindre ! A nous d’utiliser la bonne clé.

Points
Clés

Points clés

  • Les symptômes signalentun déséquilibre, ils ne sont pas des ennemis.
  • Le décodage biologique implique d’observerles organes affectés et les maladies associées.
  • Il invite à explorerles événements traumatisants et les émotions liées pour traiter les maladies.
  • La prise de consciencede la relation entre pathologie et traumatisme est essentielle pour enclencher un processus de guérison d’un patient.

 

Toute maladie requiert une présence médicale. Seul un médecin est habilité à diagnostiquer, traiter et suivre l’évolution de ces symptômes. Le décodage biologique a pour but d’orienter votre attention sur le message possible de la maladie conjointement à la prise en charge compétente de votre médecin.

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