Comprendre le décodage biologique
Mon corps est soumis au mental et à l’intellect via un ordinateur, le cerveau.
Le but de cette démarche est de retrouver l’évènement traumatisant non résolu qui, par le biais du cerveau, nous permet de le relier à la maladie. Toutes les maladies ont un conflit théorique bien répertorié (cancer de la prostate : conflit du grand père, cancer du sein : conflit de nid, cystite : conflit de marquage de territoire, spondylarthrite : conflit de dévalorisation, etc.). Nous sommes amenés alors, au travers de questions et de paramètres clés (prénom, fratrie, profession, éléments aimés, éléments détestés…), à chercher dans la vie de la personne, l’évènement conflictuel correspondant à la maladie déclarée.
Ce traumatisme peut être lié à un évènement vécu par nous-même ; ou peut être « donné » par un ou des ascendants qui ont subi une situation douloureuse. Nous associons toujours deux faits indispensables dans la compréhension du déséquilibre physique, physiologique ou comportemental :
- L’évènement traumatisant
- L’émotion liée à cette situation
La réalisation de cette association par la personne touchée, est la clé de l’amélioration, voire de la guérison.
Anatomie d’une séance
Une séance se déroule ainsi :
Après une anamnèse rapide, nous expliquons pourquoi une affection se déclenche, comment la considérer dans son essence et surtout, à quoi sert-elle ! Car elle a une raison d’être parfaite.
Une fois la logique de nos déséquilibres perçue par le patient, nous entamons l’analyse du questionnaire. Le but de l’opération est d’amener tranquillement la personne à réfléchir sur ses différents thèmes de vie, ce qui la passionne, ce qu’elle déteste, ses hobbies, ses phobies et d’autres éléments de sa vie de tous les jours, pouvant être anodins tout en étant une facette importante de la solution.
C’est le patient qui doit arriver à une évidence de relation entre sa pathologie et son traumatisme.
Un monde de dualité
Chaque organe ayant une fonction bien précise au sein du corps, c’est cette fonction qui doit être considérée pour retrouver l’évènement programmant, puisque organe et évènement sont les deux facettes de la maladie. Pour être très simpliste et pourtant dans la réalité, si j’entends tout le temps un jugement agressif de ce que je suis, je pourrai développer un problème d’oreille ; si je ne veux plus voir une situation très perturbante, je ferai un problème d’œil ; mal digérer une saleté qu’on m’a faite, problème d’estomac ou d’intestin ; mal vivre une situation d’étouffement fera apparaitre un conflit dans le poumon…
Cette technique s’apparente à une recherche policière, à un jeu de logique pure qui mettront, enfin en évidence, la relation entre un évènement traumatisant et une pathologie.
Dans ce monde de dualité, si nous ouvrons une fenêtre, c’est que nous pouvons la fermer ; si j’enfile un pull, c’est que je peux l’enlever ; si je démarre une voiture, c’est que je peux l’arrêter, et donc si le cerveau a allumé la maladie, dans la biologie, c’est qu’il peut l’éteindre ! A nous d’utiliser la bonne clé.