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Comment sommes-nous faits ? Comment fonctionnons-nous et quelles erreurs faisons-nous pour avoir un nombre incalculable de symptômes et maladies ?
Nous sommes des individus complets et performants, et nous avons en nous tout ce qu'il faut pour tout gérer
Certains avanceraient que symptômes et maladies sont des manifestations identiques à des stades différents.
Ce n’est pas tout à fait exact car le symptôme n’est pas forcément lié à une maladie, par contre, si maladie il y a, alors il y aura automatiquement symptômes.
Etant constitué de deux grands « ensembles », d’un côté le physique lié à une physiologie spécifique de chaque organe, et de l’autre, un mental, corrélé à de l’émotionnel et du spirituel, nous ne pouvons dissocier ces deux ensembles pour trouver la solution.
Malheureusement, c’est un fait acquis que si la personne ne comprend pas les interactions normales, le problème peut facilement dégénérer car la décision peut se révéler plus néfaste que le problème lui-même.
Dans la vie de tous les jours, tout un chacun perçoit la logique de sa voiture, de la recette d’un plat savoureux, de la succession d’actions avec leur portable pour une communication idéale.
Et pourtant, ces mêmes personnes sont incapables de comprendre leur propre logique physique, mentale ou émotionnelle alors qu’elles vivent 24h/24h avec elles !!
Où y a t’il eu dérapage, quels chemins de traverse labyrinthiques, ont-elles pris ?
En fait, quand je réalise la simplicité de mon fonctionnement de base, tout devient évident ! Il faut juste trouver les bonnes clés qui sont….en nous ! D’accord, ce n’est pas toujours aussi évident et l’erreur est humaine donc normale, ceci dit la solution existe naturellement, et dans nos cellules, et dans notre intellect, à nous de la chercher.
Revenons à ces deux grands éléments qui seront réunis en un être cohérent, par un réseau énergétique, qui, grâce à lui, permettra des connexions efficaces entre les deux parties pour garder l’équilibre nécessaire à une vie en bonne santé.
Notre organisme et notre émotionnel se chahutent l’un-l’autre dès qu’une désorganisation se manifeste. Comme tout est ordonné et logique en nous, même si nous avons perdu ces notions depuis longtemps, immédiatement de nombreuses réactions s’enclenchent pour tenter de rattraper cette perte de stabilité.
La mécanique complexe de nos systèmes de défense, entre en jeu et tout doit tendre vers un nouveau rééquilibrage. Sauf si le mental (mal penser) et le conscient (mal analyser), bien souvent totalement inconscients de ce qu’il vont faire empirer, se mettent de la partie.
Nous sommes des individus complets et performants, et nous avons en nous tout ce qu’il faut pour tout gérer.
Tout le monde ressent que le physique agit sur le mental/émotionnel et que le mental/émotionnel agit sur le physique. Des situations nous le montrent chaque jour.
Et pourtant les maladies (physiques et mentales) se développent à grande vitesse et de nouvelles apparaissent régulièrement, même chez les nourrissons.
Etablissons un parallèle entre ce que nous sommes physiologiquement, des mammifères placentaires, et les mammifères placentaires de la nature.
Il est évident que nous avons oublié cette nature-là, et la nôtre par la même occasion. Les mammifères savent trouver leur alimentation spécifique à leur espèce et le rythme de vie qui les rend autonomes, ils présentent peu de maladies répertoriées. Ces mêmes animaux dans des conditions « humaines » ainsi que les animaux domestiques multiplient par 5 ou 6 leurs problèmes (aux environs de 50 à 60).
Quant à nous, nous dépassons le millier de pathologies !!! Où est l’erreur ?
Nous sommes des individus complets et performants, et nous avons en nous tout ce qu’il faut pour tout gérer.
De nombreux enseignements, tests, expérimentations et découvertes nous font nous rapprocher de notre réalité, à condition que nous ouvrions notre esprit pour pouvoir écouter et goûter la nouveauté de ceux qui ont réussi à restructurer petit à petit notre humanité.
En tant qu’être vivant, aux possibilités importantes, nous subissons fortement l’influence du monde extérieur, constitué uniquement de trois éléments:
En y regardant de plus près, ces éléments sont neutres, seul mon corps (pourquoi parmi 50 personnes qui se servent de cacahouètes, une seule développe une réaction allergique?) ou le regard que je porte sur eux (si nous sommes 10 à regarder nos 10 voitures brûler, pourquoi peut-il y avoir 10 attitudes différentes ?) déclenchent mes réactions.
Les épidémies le montrent. Seule une partie de la population disparait. Pourquoi? Peut-on parler d’une énergie différente intégrée au travers de la vie de la personne? La question est intéressante et l’analyse passionnante.
Que ce soit au travers de notre physique, de notre émotionnel, de notre spiritualité sachons nous réorganiser.
Le challenge semble ardu, et pourtant il est à notre portée. Il suffit juste d’avoir l’enthousiasme de la redécouverte et la volonté de changer.
Dans ce parcours de santé, des obstacles surgiront évidemment, mais l’obstacle peut fortifier et obliger à une réflexion cohérente pour trouver les ressources de le dépasser. A ce moment, je grandis en valeurs et en pouvoirs.
D’arriver au bien-être en développant ce qui forme notre inné, puisque chacun aimerait atteindre paix, bonheur, douceur, sagesse, plénitude, et développer ses pouvoirs tels tolérance, coopération, adaptabilité, écoute, disponibilité.
Les éléments perturbateurs se définissent comme les acquis sociaux, familiaux, religieux, culturels, professionnels, financiers, car la définition de chaque acquis passe par des croyances, des imprécisions, des méconnaissances, des influences, et le sens de la réalité se perd, ou s’adapte aux envies de celui qui y pense, et comme chacun pense souvent différemment dans les acquis, l’incompréhension, la jalousie, la colère, la déprime, pour ne citer qu’eux, s’emparent de la pensée.
Or tout est en nous et notamment le bon et l’équilibré, la solution et la guérison, la maitrise et la compréhension.
Dans ce monde de la dualité, rien ne peut être créé qui n’ait son contraire :
si j’ouvre la fenêtre, je peux la fermer;
si je démarre la voiture, je peux l’arrêter;
si j’enfile un pull, je peux l’enlever.
Si JE suis en forme, je peux devenir malade mais si JE deviens malade, JE peux guérir, les deux sont en moi.
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